Nous partageons avec Ludovic Gromard, le créateur du programme CHANCE, un profond respect teinté d’admiration pour Muhammad Yunus, prix Nobel de la Paix en 2006 et inventeur du micro-crédit au Bangladesh il y a plus de 40 ans, en 1976. Ludovic a eu la chance de le rencontrer au culot en 2014, lors du RDV annuel dans son pays du maître de la lutte contre la pauvreté par l’entreprenariat. Une rencontre déterminante pour la suite de la propre aventure entrepreneuriale du jeune homme.
CHANCE est une ESS au service des repositionnements professionnels
Aujourd’hui, Muhammad Yunus est Président d’honneur de l’entreprise sociale et solidaire CHANCE. Le principe de base est finalement inspiré de la conviction profonde qu’on a tous en nous les ressorts pour réussir professionnellement, mais on peut se tromper de chemin et ne pas être heureux dans son poste.
Ludovic de Gromard a ainsi eu l’idée de créer un programme basé essentiellement sur une meilleure connaissance de soi. Pour développer son outil entièrement digital, le jeune homme s’entoure de talents et d’experts , à commencer par Robert Dilts, connu mondialement pour avoir modélisé des pans entiers de la psychologie grâce à la programmatique neurolinguistique (PNL).
La liste est aujourd’hui longue des personnalités qui aident à l’amélioration constante de l’outil numéro 1 mondial en psychtech, que ce soit dans l’amélioration des connaissances dans les différents domaines de la psychologie, qu’en développement technologique pour être à la pointe d’un service en ligne.
Un programme de 3 mois à prendre en main de chez soi
Adapté à des personnes qui ont au moins eu 6 mois d’expériences professionnelles dans leur vie, et un retour ainsi personnel sur la vie active, le programme de Chance se fait de chez soi, aux heures qui conviennent à chacun, mais en respectant un rythme imposé de trois mois qui se déroulent autour de trois phases clés :
– l’introspection (1 mois) : on cherche en la personne ses aspirations profondes, ses compétences, mais aussi ses impératifs de vie qui peuvent être autant un problème géographique lié à une garde partagée, qu’un problème d’horaire pour aller chercher des enfants à l’école, ou encore d’un besoin de changer de ville
– l’exploration (1 mois) : l’algorithme rentre ici en jeu et va affiner les possibilités de réorientation en se basant sur 40 pistes de métiers possibles au vu de la première phase d’introspection
– la validation (1 mois) : cette étape, comme son nom l’indique, vise à certifier que votre profil colle avec le projet défini.
Le candidat à la réorientation professionnelle (appelé « talent ») n’est toutefois pas laissé seul face à un programme informatique : plus de 100 coaches répartis sur tout le territoire sont là pour accompagner et guider les « talents » dans leur prise de décision.
Financé par le CFP, Pôle Emploi ou le 1 % formation
Avec 100 % de bons résultats à l’audit qualité QUALIOPI, la certification de l’Afnor sur les organismes de formation, la qualité de l’outil semble avérer.
Compte tenu du contexte actuel, il connaît un fort succès, que ce soit dans les prises de conscience des salariés qui ont eu le recul du confinement pour se poser des questions sur leur avenir, ou que ce soit les entreprises soucieuses de proposer des programmes qui permettent au reclassement de collaborateurs.
Le programme Chance est en effet certifiée Datadok, ce qui offre la possibilité aux entreprises d’utiliser un financement par le 1 % formation.
Pour en savoir plus :
Chance